I.Avocat : Tout savoir sur l’application qui divise le monde juridique
Depuis le 1er janvier, I.Avocat prétend offrir des conseils juridiques, mais des juristes ont découvert que certaines réponses fournies par l’application sont erronées. Financée principalement par Microsoft, OpenAI a ouvert son propre Appstore, permettant aux clients de proposer et de vendre des versions personnalisées de ChatGPT.
Pour 69€ par an ou 149€ pour une version premium, l’application française I.Avocat offre des conseils juridiques, mais sa communication ambiguë laissant entendre qu’elle peut remplacer un avocat a suscité des inquiétudes. Des juristes ont constaté que l’application donne des réponses incorrectes, et le siège social de la société à Dubaï soulève des préoccupations concernant la protection des données, d’autant plus que le fondateur n’a pas de formation juridique.
Par ailleurs, Microsoft prévoit d’installer l’IA sur ses claviers PC avec une nouvelle touche appelée Copilote, remplaçant la touche Windows pour accéder aux outils d’IA de l’ordinateur. La société a dévoilé plus de détails lors du CES à Las Vegas présentant cette nouvelle fonctionnalité comme la plus grande innovation de son clavier depuis 20 ans.
De son côté, Google lance AutoRT, un programme de collecte de données visant à entraîner les robots fonctionnant sous IA pour une meilleure compréhension du contexte d’utilisation et pour éviter de prendre de mauvaises décisions pour les humains.